samedi 28 décembre 2019

Bienvenue à Gattaca et Philo!

La chaine "Trucs de philo" fait une présentation du film Bienvenue à Gattaca!



"Pour cette première vidéo, on étudie la cité de Gattaca et ses liens à l'utopie et la dystopie, puis on fait un petit détour par la philosophie morale !"



"On fait le point sur le rapport de Gattaca à la science, et on aborde les sujets difficiles de l'eugénisme et du libéralisme philosophique en général. C'est pas facile."



"Cette fois, on étudie l'un des thèmes sous-jacents du film : la querelle déterminisme/libre-arbitre !"


[Série] La morale selon la psychologie évolutionnaire

Suite de vidéos par Stéphane Debove, de la chaine "Homo Fabulus", sur la morale.

Toutes les sources sont accessible dans les descriptions de ses pages YouTube.

[attention, l'auteur précise que ce qui est présenté est basé sur des recherches récentes et ne fait pas consensus]

La morale, ce truc bizarre
 "Début d'une série sur les origines de la morale sur Homo Fabulus ! Je pose ici les bases et vous explique pourquoi la morale, c'est bizarre, au cas où vous l'auriez pas remarqué."


Sommes-nous pré-câblés pour être moraux ?
"Un petit tour d'horizon des données qui font penser que la culture n'est pas seule maîtresse à bord pour déterminer nos jugements moraux !"


Pourquoi pas tous des bisounours ?
 "Comment un sens moral universel pourrait exister quand on observe tant de comportements immoraux chaque jour ? Un sens moral universel ne prédit-il pas que nous devrions tous être des bisounours ?"


À quoi "sert" la morale (pour un biologiste) ?
 "La morale ne devrait pas exister ! C'est en tout cas ce que semble nous dire la théorie de l'évolution dans sa plus simple version. Mais si la morale ne devrait pas exister, pourquoi existe-t-elle quand même ? HA HA LE PARADOXE !"


La morale, une histoire de coût d’opportunité (?)
"Aujourd’hui je vous explique la théorie de la morale sur laquelle j’ai bossé pendant ma thèse ! Vidéo plus longue que d’habitude et assez dense, mais ça n’avait aucun sens de la couper en plusieurs morceaux. J’espère que ça vous plaira !"




Est-ce mal de vouloir maximiser le bonheur ? Utilitarisme
"Présentation du big boss de la philosophie morale : l’utilitarisme. Vouloir maximiser le bonheur du plus grand nombre, c’est forcément bien, non ? Pas si vite..."


Les extraterrestres auront-ils une morale ? Réalisme moral

"Le jour où les premiers extraterrestres débarqueront sur Terre, pensez-vous qu’on pourra discuter de morale avec eux ? Quelles sont les chances pour qu’ils comprennent ce que ça veut dire ? Quelques éléments de réponse à cette question qui rejoint la question du réalisme moral en philosophie."


Le grand récap' - naturaliser la morale
"C’est la dernière ! Un grand récap de tout ce qu’on a vu sur la morale et le travail des doux rêveurs qui essaient de l’expliquer avec les lois naturelles."





Le réchauffement climatique, c'est quoi ?

Clément Viktorovitch interview des chercheurs sur le réchauffement climatique et la transition écologique.


La transition écologique: CO2 ou PIB, il faut choisir!


"Jean-Marc Jancovici", ingénieur consultant en énergie et climat, a proposé une leçon inaugurale sur la transition écologique. "Le monde qui ne s'occupe pas du changement climatique, c'est un monde conflictuel et violent dans lequel vous pouvez oublier les promesses de croissance perpétuelle. "



La fiabilité des médias

Christophe de la chaine "Hygiène Mentale" sur la chaine "Le Vortex" présente les différents type de fake news possibles.



Entre titres racoleurs et affirmations hâtives, les médias ne sont pas exempts de tout reproche lorsqu’ils transmettent leurs informations. Bien que le titre « Manger du chocolat rapporte des Prix Nobel », des journaux se sont empressés d’en parler. Christophe se demande pourquoi. Pourquoi des papiers sérieux en viennent à affirmer des choses résolument fausses ? Manipulation de l’opinion ? Volonté de nuire ? Humour ? Appat du gain ? Pourquoi pas un peu de tout cela.

samedi 7 décembre 2019

Lumière et perception des couleurs

Viviane de la chaine "Scilabus" explique ce qu'est le daltonisme, et test l'efficacité de lunettes correctrices.




Léo de "DirtyBiology" présente quelques méthodes pour créer de nouvelles couleurs



Puis explique pourquoi certaines couleurs n'existent pas:


Un renouveau de l'eugénisme : l'eugénisme libéral

Collaboration entre "DirtyBiology" et "Monsieur Phi" sur un renouveau de l'eugénisme.

Avec les avancées technologiques dans le domaine de la biologie (CRISPR-KAS9 par exemple), nous risquons de voir un retour de l'eugénisme... Mais est-ce forcément une mauvaise chose?



 + une vidéo de retours/commentaires supplémentaire:



En supplément, voici une (longue) vidéo de "Mr. Sam" sur un sujet très proche: le transhumanisme







Le curseur de Turing: comment appliquer la formule de Bayes.

Lê de la chaine "Science4All" a commencé une série sur le bayésiennisme ici.
L'ensemble de la série est intéressante (et compliquée), mais ces quelques vidéos suivantes donnent une méthode "le curseur de Turing" pour simplifier l'utilisation de la méthode de Bayes.







Sciences nutritionnelles : quelle est la recette ?

Podcast de "La Méthode Scientifique France Culture" sur les sciences nutritionnelles:
Comment sont réalisées les études nutritionnelles ? Pourquoi pour un même aliment ou nutriment obtient-on parfois des résultats contradictoires ? Quelles sont les limites et les biais inhérents à la réalisation d’études observationnelles ? Comment les éviter ?

"Un verre de vin rouge par jour : c’est l’assurance d’éviter les maladies cardio-vasculaires ou au contraire, d’augmenter ses chances de cancer. Le café : protège contre les cirrhoses du foie et le diabète ou accroît les risques de cancer du poumon ? Et la viande rouge ? Cancérigène à la première, seconde, troisième bouchée ou pas du tout sans parler des compléments alimentaires, des régimes sans glucoses, paléolithiques, crudivores, difficile de s’y retrouver dans les sciences nutritionnelles, tellement elles donnent l’impression de justifier tout et son contraire. Pourquoi est-ce si difficile de mesurer ce qu’il y a dans nos assiettes ? Sciences nutritionnelles : quelle est la recette ? C’est le programme gourmand qui est le nôtre pour l’heure qui vient. Bienvenue dans La Méthode scientifique. Et pour faire la lumière sur les arcanes des sciences nutritionnelles et de leur méthode, nous avons le plaisir de recevoir aujourd’hui Mélanie Deschasaux, chargé de recherche dans l’équipe de Recherche en Épidémiologie Nutritionnelle EREN rattaché à l’INSERM, l’INRA et le CNAM et l’Université Paris 13 et Daniel Tomé, professeur émérite à AgroParisTech, directeur de l’unité physiologie de la nutrition et du comportement alimentaire de l’INRA et AgroParisTech."


lien vers la page d'origine: ici




TUTO : ne pas se faire pirater

"Officiel DEFAKATOR" fait un tuto sur comment détecter les principales méthodes de piratage (notamment une partie sur le phishing).




L'histoire du Big Bang

Bruce de la chaine "e-penser" présente la théorie du Big Bang.







Dans ces vidéos, il explique ce qu'est cette théorie, comment elle a été construite (histoire des sciences), et pourquoi ce sujet est intéressant.


lundi 28 octobre 2019

La perception des risques liés à la santé

Papier sur la perception des risques liés à la santé selon les différents domaines.



site d'origine: ici

Quelques graphes intéressants aux pages:
3, 5, 16, 38

Dose Équivalent Banana

Blog sur le nucléaire.

Tristan Kamin est ingénieur d'études en sûreté nucléaire.

Régulièrement sur Twitter, il poste des messages sur le fonctionnent du nucléaire, et réagit a l'actualité sur ce sujet (construction, fonctionnement, recyclage, sureté, politique, etc. ).
Pour que l'ensemble de ses explications ne se perdent pas dans le passé de Twitter, il a créé un Blog qui recense l'ensemble de ses messages explicatifs.

voici le lien vers son blog:
Dose Équivalent Banana

Battlestar Galactica: meilleure série SF de la galaxie ?

Podcast de "La Méthode Scientifique France Culture" sur Battlestar Galactica:
Retour sur l’histoire de la série originale et la série qui a suivi. De quelle manière Ronald D. Moore a-t-il su réinterpréter la série originale pour s’insérer au mieux dans le contexte politique de son époque ?

"Au départ, c’est un space opera, dans la lignée du succès de Star Wars, diffusé à partir de 1978 sur le réseau ABC aux Etats-Unis. Malgré une première saison plutôt bien accueillie, la production s’arrête dès la première année. Après une tentative ratée de retour en 1980, il faudra attendre le début des années 2000 pour que l’idée d’un remake fasse son chemin. Le premier projet de ce remake va être avorté suite aux attentats du 11 septembre, qui vont conduire à un profond remaniement de la nouvelle série, avec un nouveau showrunner venu de Star Trek Ronald D. Moore pour qu’en 2003 renaisse de ses cendres Battlestar Galactica. Un chef d’œuvre de la Science-Fiction télévisuelle.
Battlestar Galactica, meilleure série SF de la galaxie ? C’est le fraking programme qui est le nôtre pour l’heure qui vient. Bienvenue dans ce numéro spécial de La Méthode scientifique."


lien vers la page d'origine: ici




💨 Machine à vapeur: La machine par laquelle tout a commencé

Vidéo sur l’évolution de la machine à vapeur par "monsieur bidouille".

"James Watt est il aussi badass qu’on le dit ? Comment en est on venu à concevoir une machine qui utilise l’énergie du feu pour créer du mouvement ? La réponse dans cet épisode sur les premières machine à vapeur, symbole du début de la révolution industrielle. Et du début de la fin du climat. (youpi)"




Comment à été inventé la machine à vapeur? Comment ça fonctionne? quelles sont ses évolutions et améliorations? 

 

 

 

Pour (beaucoup) plus de détail sur les système de contrôle :


 

dimanche 13 octobre 2019

[EN avec sous-titres] Esther Duflo, prix Nobel d'économie 2019

Conférence TED d'Esther Duflo, prix Nobel d'économie 2019, sur comment analyser et combattre la pauvreté.



https://www.ted.com/talks/esther_duflo_social_experiments_to_fight_poverty?language=fr

Le monoxyde de dihydrogène : une substance chimique mortelle

L'auteur du blog "curiologie", dans l'émission Allo Docteur, présente l'importance du contexte dans la perception des risques et du danger.


La Vérité sur les Crop Circles


"AstronoGeek", accompagné de "Hygiène Mentale", "Officiel DEFAKATOR", "La Tronche en Biais", et "Un Monde Riant", ont décidé de tester comment les gens réagissent aux Crop Circles.





























Le biais d’auto-complaisance

 "horizon-gull" présente le “biais d’auto-complaisance”, où pourquoi on se met en avant lors d'une réussite, et on met en cause la chance lors d'un échec.






"Un Game Over dans un jeu, une mauvaise note à un examen, un échec suite à une action pourtant entreprise avec soin, et voilà que nous nous mettons parfois à invoquer des facteurs extérieurs qui auraient pu nous échapper et qui pourraient expliquer ce résultat indésirable: “J’ai raté, mais ce n’est pas faute, je n’ai pas eu de chance”..... Curieusement, dans des cas contraires telle qu’une réussite impromptue, voilà que nous renonçons à explorer ces causes explicatives extérieures, préférant souvent se faire soi-même le principal, voire unique, artisan d’un tel succès: “J’ai réussi, c’est grâce mes efforts, à mes compétences, rien à voir avec la chance”. Cette tendance que nous avons à invoquer les explications qui nous arrangent le plus a été nommée par les chercheurs le “biais d’autocomplaisance” ( self-serving bias en anglais). C'est ce biais que nous allons explorer dans cet épisode d'XP."

De plus en plus de cancers dans le monde?

Les gars de la chaine "Le Malin Génie" discutent des raisons de l'evolution du nombre de cancers dans le monde.

"Nous entendons souvent dire qu'il y a une explosion du nombre de cancers depuis quelques années. Et nous entendons souvent dire que c'est à cause des nombreuses technologies qui composent notre quotidien depuis l'ère pré-industrielle. Du coup qu'en est-il ? Y'a-t-il vraiment une explosion inexpliquée de cas de cancers à cause des ondes, des pesticides, des composés chimiques de synthèse en général ? Oui, m'enfin non, c'est compliqué..."




dimanche 18 août 2019

La pensée Bayésienne

Christophe de la chaine "Hygiène Mentale" présente la pensée Bayésienne, puis présente quelques exemples pour montrer comment utiliser cette façon de penser dans notre vie de tout les jours.
Un des principes de bases est de ne plus avoir un avis vrai/faux sur une croyance, mais d'utiliser un curseur [0%-100%] sur la crédibilité de cette croyance...

Il y a également une longue série de vidéo sur le bayésiennisme par Lê de "Science4All" en cliquant ici.

Glyphosate, un débat empoisonné

Podcast de "La Méthode Scientifique France Culture" sur le glyphosate:
Qu'est-ce que le glyphosate et d’où vient-il ? Comment, pourquoi et où l'utilise-t-on aujourd’hui ? Que connaît-on de son impact sur la faune et la flore et sur la santé humaine ?

lien vers la page d'origine: ici




[Série] L'histoire de l'univers de tout et d'un peu du reste




Suite de vidéos de "Balade Mentale" sur l'histoire de l'univers:

Balade Mentale vient de se lancer dans une série de vidéos retraçant l'histoire de tout ou presque.
C'est beau, épique, impressionnant, poétique, instructif, renversant. Impossible de ne pas apprendre quelque chose, un de mes plus grand coup de cœur:




Dans cette première vidéo il présente le "Calendrier cosmique de Carl Sagan":
Ce calendrier permet de remettre en perspective les durées de temps énormes qui séparent le présent du début de l'univers. Cette vidéo fait un résumé de l'histoire de l'univers (centré sur la terre) en 10 minutes.







Dans cette deuxième vidéo il présente comment le big bang a fabriqué l'univers:
Big Bang, mur de Planck et singularité.
Ce qu'a créé le Big Bang
Les forces fondamentales de la physique







Dans cette troisième vidéo il présente ce que l'on sait des différents types d'étoiles:
Les masses, les températures, les rayons, les intensités lumineuses, et les couleurs possibles... Comment les étoiles sont créées, comment elles évoluent, et comment elles meurent?






Dans cette quatrième vidéo il présente d'où vient la matière:
La transformation des atomes au centre des étoiles. Comment passer de l'hydrogène aux autres atomes? Quel rôle pour les supernovas?

 




Dans cette cinquième vidéo il poursuit le voyage vers la création de la matière:
Le rôle des supernovas, la vie des étoiles, la création d'atomes par les étoiles à neutrons, la combinaison des atomes pour faire des molécules, dont celle de l'ADN, et l'immortalité des atomes.






Dans cette sixième vidéo il présente la lumière et ce qu'elle permet:
Ce qu'elle est, comment elle nous aide à comprendre l'histoire de l'univers.
Les indices quelle donne pour l'identification de la matière.






Dans cette septième vidéo il présente comment naissent les étoiles.
Les nébuleuses et leurs dimensions démesurées.
Les amas de gaz et de poussière qui s'allument en étoiles.






Dans cette huitième vidéo il présente comment c'est formé notre système solaire.
La nécessité d'un nuage de gaz et de poussière (et d'un peu de temps).
Comment les particules se regroupent entre elles pour former des planètes.
Comment se répartit la matière entre le soleil et les planètes.
Comment s'est formée la Terre.






Dans cette neuvième vidéo il présente les différents paysages qu'a présentés la terre durant son histoire.
De la boule de lave d'il y a 4 milliards à la planète que l'on connaît aujourd'hui






Dans cette dixième vidéo il nous emmène pour un voyage dans l'arbre du vivant.
Les représentation de l'arbre du vivant au cours du temps.
Où se situe l'homme dans ce buisson?
Qui est LUCA?
Comment en est-on arrivé la?





Dans cette onzième vidéo, il nous parle de notre évolution, quelles sont les étapes qui vont de "création d'une vie sur terre" à "être humain"?






Dans cette douzième vidéo, il présente homo sapiens. Quels sont nos particularités? Quelles ont-été nos évolutions? La création et le partage de la culture, la sédentarisation, les explorations, la mondialisations, les épidémies, l'écriture, etc.





Dans cette treizième vidéo, il nous emmène découvrir les structures plus petites que l'homme, jusqu'à "l'infiniment petit".





Dans cette quatorzième vidéo, il nous emmène découvrir les structures plus grandes que l'homme, jusqu'à "l'infiniment grand".






Dans cette quinzième et dernière vidéo, il nous présente comment va évoluer l'univers (selon le scénario le plus admis actuellement)....





[Série] Tout savoir sur le nucléaire (par le Réveilleur)



Suite de vidéos de "Le Réveilleur" sur le nucléaire, sous partie de sa série sur l'énergie disponible ici.

Toutes les sources sont sur son site, accessible via la description de ses vidéos sur youtube, et les éventuelles erreurs sont précisées dans le premier commentaire épinglé. 





Dans cette première vidéo il présente ce qu'est la radioactivité:
Un historique sur la découverte de la radioactivité.
La présence naturelle et universelle de la radioactivité.
D’où vient la radioactivité (isotope instable), comment ça fonctionne, et pourquoi il y en existe encore?
Pourquoi et comment cette radioactivité est dangereuse.
Fonctionnement de la datation par carbone 14.
La radioactivité de provenance humaine.
Les expositions volontaires VS les expositions involontaires

Il présente également des notions utiles pour la suite (unités de mesure, particules, etc.):
Le  Becquerel correspond au nombre de désintégration radioactive par seconde.
Le Sievert: impact des rayonnements sur l'homme (prend en compte le style de radioactivité, et le type d'organe touché, c'est l'unité la plus utile pour quantifier la dangerosité sur l'humain).
La durée de demi-vie.
Les radioactivités alpha, bêta et gamma.






 
Dans cette deuxième vidéo il présente les effets et impacts du nucléaire sur l'homme:
Comment les rayons ionisants ont un impact sanitaire.
Ce qu'est l'UNSCEAR? (le GIEC du nucléaire)
Quels sont les effets sanitaires déterministes (haute radioactivité, forte dose et energétique)
Quels sont les effets sanitaires aléatoires/stochastiques (radioactivité faible sur le long terme)
Les expositions volontaires et involontaires. 
Étude de cohortes avec Hiroshima et Nagasaki.
Les doses faibles.
Le nombre de morts avec Tchernobyl et Fukushima.
Le nombre de morts avec la peur du nucléaire.

Il présente également des nouvelles notions:
Le Gray (énergie absorbée par quantité de matière) 
Dose équivalente et dose efficace (quantifier l'irradiation sur l'homme) 
Le débit de dose (intensité de l'exposition / par la durée de l'exposition)
Les éléments à durée de vie courte sont plus dangereux car se désintègrent rapidement











Dans cette troisième vidéo il répond à de nombreuses questions sur l'uranium:
Où le trouver?
Comment l'extraire?
Quel est le coût de l'uranium?

Quelle quantité est exploitable?
Quels sont les risques de ces exploitations?
Comment est-il utilisé dans le nucléaire (fission, enrichissement, surgénération, ...)
Quelle est la quantité d'énergie contenue dans 1kg d'uranium? (comparaison avec pétrole et charbon)






Dans cette quatrième vidéo il explique le fonctionnement des centrales nucléaires et plus précisément celles avec des réacteurs à eau pressurisée:

La quantité d'énergie produite.
La stabilisation de la réaction en chaine.
Fonctionnement interne par eau pressurisée.
Évacuation de la chaleur et besoins en eau (et gestion des canicules).
Certains rejets des centrales (Chaleur, Tritium, CO2).
La cogénération (utilisation de la chaleur dégagée pour le chauffage) pour diminuer l’émission globale de CO2.
Quelques raisons d'arrêts des centrales.
La durée de vie d'une centrale.
D'autres types de centrale? (Tchernobyl et Fukushima)















"Dans cette vidéo, j'introduis le sujet des déchets radioactifs. J'explique rapidement ma méthode et je donne quelques sources utiles. Je définis ensuite ce qu'est un déchet radioactif et j'oriente la vidéo vers les déchets dits de "haute activité" qui sont les plus dangereux. C'est l'occasion de rappeler la différence entre danger et risque qui est fondamentale pour bien comprendre cette question. Je m'intéresse ensuite à ce qu'il y a dans le combustible usé des centrales nucléaires et la façon dont on le gère. Après un entreposage obligatoire en piscine, le combustible usé est entièrement considéré comme un déchet radioactif dans certains pays (dont les États-Unis) avant d'être entreposé à sec. D'autres pays (dont la France) ont fait le choix de retraiter le combustible et donc de séparer les éléments les plus gênants (produits de fission et actinides mineurs) des éléments valorisables (uranium et plutonium)."
 







"Dans cette vidéo seconde vidéo sur les déchets radioactifs, j'explique comment on essaye de réduire la radiotoxicité des déchets radioactifs. Je parle donc de la transmutation. La logique de la transmutation des déchets radioactifs est de modifier la structure de certains radionucléides pour les rendre moins dangereux. La transmutation a des avantages mais également des défauts qui limitent considérablement son usage aujourd'hui et questionne son usage à l'avenir. J'aborde notamment la transmutation par laser qui a beaucoup fait parler d'elle, malgré des applications limitées. Je me penche ensuite sur le MOx : ce combustible qu'on produit à partir du plutonium issu du retraitement et de l'uranium appauvri. C'est l'occasion de parler de l'utilisation potentielle du plutonium de retraitement dans des bombes nucléaires et des avantages environnementaux du MOx qui est, au final, une forme de recyclage partielle des déchets nucléaires. Enfin, je discute un peu de l'influence du futur du nucléaire (déploiement d'une quatrième génération ou arrêt du nucléaire) sur la question des déchets radioactifs avant de conclure."






(voir sur YouTube pour les times codes)
"Dans cette troisième vidéo, on va s'intéresser à tous les déchets radioactifs ! Dans un premier temps (1:56), je vous parle des déchets radioactifs à vie très courte (avec une période radioactive de moins de 100 jours) qui sont majoritairement produits par le médical. Je vous parle ensuite (8:32) des déchets radioactifs de moyenne activité à vie longue qui posent des problèmes assez proches des déchets de haute activité dont on a parlé dans les deux dernières vidéos. Ces déchets sont radioactifs à cause du phénomène d'activation neutronique qui est aussi responsable de la radioactivité résiduelle dans les centrales nucléaires à l'arrêt. C'est donc l'occasion de vous parler du démantèlement des centrales nucléaires (15:00). Je vous explique comment on démantèle, quels sont les enjeux, les coûts... etc. Du coup, j'aborde deux autres catégories de déchets qui forment l'essentiel des déchets produits par le démantèlement des centrales nucléaires: les déchets de faible et moyenne à vie courte (25:00) et les déchets radioactifs de très faible activité (26:38). Après un passage par la dernière catégorie de déchets radioactifs, celle des déchets de faible activité à vie longue (39:18), il est temps de conclure (43:15)."







"Dans cette quatrième vidéo sur les déchets radioactifs, je vous parle enfin du mode préférentielle pour la gestion à long terme (sur des dizaines de milliers d'années) des déchets radioactifs les plus dangereux: le stockage géologique profond. Après un résumé rapide des épisodes précédents, je rappelle la problématique: Comment s’assurer que la radioactivité des déchets de haute activité et de moyenne activité à vie longue ne présente pas de risques pour l’environnement et les sociétés humaines sur le long terme. Je présente les principes généraux du stockage géologique profond avant d'exposer la fascinante anecdote des réacteurs naturels d'Oklo. Je me concentre ensuite le projet Cigéo: le projet français de stockage géologique profond. J'y aborde pleins d'aspects différents: refroidissement des colis , impacts des fuites de radionucléides ou encore la question de la mémoire Je prends aussi le temps d'expliquer l'impact de ce stockage sur les émissions de CO2 du nucléaire et je touche quelques mots des opposants et de Greenpeace en particulier avant de conclure. Vous trouverez des détails sur des alternatives au stockage géologique profond, ce qu'on pourrait faire en cas de problème majeur, la problématique du dégagement d'hydrogène, des incendies, des déchets bitumineux et quelques minutes sur la situation dans le monde dans la vidéo annexe: "
"Dans cette vidéo, je vous parle des alternatives au stockage géologique profond:
- Les immersions de déchets solides en mer
- Les rejets liquides qui ont encore lieu
- Le stockage dans les fonds marins ou utilisant la subduction
- L'envoi de déchets dans l'espace 
- Leur stockage dans des glaciers
- Les stocker sur des sites déjà contaminés (Tchernobyl, mines... etc)
- Le stockage en forage.
On voit ensuite un mode de gestion possible en cas de catastrophe, les problématiques de l'hydrogène, des déchets bitumineux et des incendies et le stockage géologique ailleurs dans le monde."





to continue... (déchets, stockage, sécurité, ...)





Modestie épistémique

Lê de la chaine "Science4All" a commencé une série sur comment mieux débattre, et je trouve plusieurs de ses idées intéressantes, voici donc la vidéo sur la modestie épistémique.
Préciser les degrés de croyance/confiance que l'on a sur un argument ou une pensée, pour ne pas tromper nos interlocuteurs, et ça permet d'accepter de se remettre en question plus facilement (si on dit une quelque chose de faux en ayant précisé que notre degré de confiance était faible, on peut plus facilement changer d'avis)



[EN] L'ignorance n'est pas le plus gros problème, savoir des choses qui sont fausses est pire.

Comment peut-on résoudre les problèmes dans le monde si on n'est même pas capable d'avoir une bonne vision de ces problèmes?

Dans ces 2 vidéos (qui ont des parties communes) Hans Rosling et Ola Rosling présentent plein de statistiques méconnues sur le niveau de vie dans le monde, et montrent a quel point on est pire qu'ignorant: on sait des choses fausses
"Ce n’est pas tant ce que les gens ignorent qui cause des problèmes, c’est tout ce qu’ils savent et qui n’est pas vrai."


Fake news ou informations sélectives?


Cette deuxième vidéo est une conférence scénarisée qui reprend et regroupe les conférences habituelles de Hans Rosling (j'aime moins le format scénarisé, mais il a l'avantage de rassembler beaucoup d'informations de ses autres conférences)


Petite remarque, je trouve dommage ces comparaisons avec les singes, car selon le nombre de catégories choisies, on n'obtient pas les mêmes résultats.... Cependant le message global reste juste.

Tribune No Fake Science

La tribune originale se trouve ici.



Nous, scientifiques, journalistes et citoyens préoccupés, lançons un cri d’alerte sur le traitement de l’information scientifique dans les médias, ainsi que sur la place qui lui est réservée dans les débats de société. À l’heure où la défiance envers les médias et les institutions atteint des sommets, nous appelons à une profonde remise en question de toute la chaîne de l’information, afin que les sujets à caractère scientifique puissent être restitués à tous et à toutes sans déformation sensationnaliste ni idéologique et que la confiance puisse être restaurée sur le long terme entre scientifiques, médias et citoyens.
 
Dans une démocratie, les journalistes portent une lourde responsabilité, puisque de la liberté dont ils et elles disposent, ainsi que de la qualité de l’information livrée, dépend la qualité du débat public et des choix qui en découlent. La méthode scientifique, de son côté, permet de produire des connaissances fiables pouvant servir de base de réflexion pour les politiques publiques portant sur des questions complexes telles que l’alimentation, la santé publique ou l’écologie [1]. Il apparaît alors évident que scientifiques et journalistes doivent travailler main dans la main : les premiers ne devant pas s’isoler médiatiquement par crainte de voir leurs travaux déformés, les seconds ne pouvant se permettre de travestir ni le travail des premiers, ni les faits.
C’est sur ce dernier point que nous alertons les acteurs et actrices des médias. Nous assistons aujourd’hui à un dévoiement grandissant du travail des scientifiques. Leurs résultats ne sont bien souvent mis en avant que s’ils confortent des opinions préexistantes. Dans le cas contraire, certains iront sous-entendre leur rémunération par un lobby malveillant. Soyons clairs : l’état de nos connaissances ne saurait être un supermarché dans lequel on pourrait ne choisir que ce qui nous convient et laisser en rayon ce qui contredit nos opinions. Il existe en effet des consensus scientifiques sur des sujets aussi divers que :
  • La santé :
    • La balance bénéfice/risque des principaux vaccins est sans appel en faveur de la vaccination [2,3].
    • Il n’existe aucune preuve de l’efficacité propre des produits homéopathiques [4].
  • L’agriculture :
    • Aux expositions professionnelles et alimentaires courantes, les différentes instances chargées d’évaluer le risque lié à l’usage de glyphosate considèrent improbable qu’il présente un risque cancérigène pour l’humain [5,6,7].
    • Le fait qu’un organisme soit génétiquement modifié (OGM) ne présente pas en soi de risque pour la santé [8].
  • Le changement climatique :
    • Le changement climatique est réel et d’origine principalement humaine [9].
    • L’énergie nucléaire est une technologie à faible émission de CO2 et peut contribuer à la lutte contre le changement climatique [10].
Ce ne sont pas de simples opinions. Ce sont les conclusions issues de la littérature scientifique et soutenues par des institutions scientifiques fiables, comme l’OMS, l’Académie Européenne des Sciences, l’Académie Nationale de Médecine, l’Académie d’Agriculture, ou encore le GIEC.
Bien entendu, la science n’a pas réponse à tout. Il existe des questions qui n’ont pas conduit à un consensus clair, voire qui restent sans réponse. Il est alors tout à fait légitime pour un média de présenter et d’expliquer le débat qui a lieu. Si un consensus existe, le ou la journaliste doit être capable de l’identifier, de chercher à le comprendre et à en rendre compte. Il n’est pas souhaitable de donner autant de poids à un fait scientifique dûment établi qu’à sa négation. Il serait par exemple impensable qu’après 15 minutes d’un sujet sur la station spatiale internationale, l’on donne 15 minutes d’antenne à un adepte de la Terre plate.
Nous comprenons que des « marchands de doute », y compris certains scientifiques, aient tenté et tentent encore de détourner le public du consensus. Cependant, les journalistes se trompent de cible s’ils et elles croient que les scientifiques sont leurs ennemis. Ces derniers risqueraient de s’éloigner plus encore des journalistes. Enfin, nous soulignons la différence entre les échelles de temps scientifique et médiatique. La surinterprétation de résultats préliminaires et petites avancées sitôt contredits ou nuancés brouille le message adressé au public. S’il est légitime de chercher à informer dans les délais les plus brefs, cette réactivité peut s’avérer contre-productive, en particulier sans les clés de compréhension de l’actualité scientifique.
Il est urgent que la place de l’information scientifique dans nos médias et dans le débat public soit revue, pour éviter de creuser le fossé entre scientifiques et journalistes. Réfléchissons ensemble à la façon de rendre à la science la place qu’elle mérite. Pour un débat public apaisé et rationnel, pour le bien de notre vie politique, pour nos concitoyens. « La science n’a pas de patrie », nous dit Louis Pasteur. Nous ajoutons qu’elle ne saurait avoir de parti-pris idéologique.

[1] Assemblée Nationale
Résolution sur les sciences et le progrès dans la République. Session ordinaire de l’Assemblée Nationale du 21 février 2017.
[2] Académie nationale de Médecine, Académie des Sciences
Les difficultés de l’information du public sur les vaccinations. Académie nationale de médecine - Académie des Sciences. Novembre 2011.
[3] OMS
10 menaces pour la santé mondiale en 2019. OMS. Consulté le 20 février 2019.
[4] EASAC
L’homéopathie : nuisible ou utile ? Les scientifiques européens recommandent une approche fondée sur la preuve scientifique. Académie des Sciences. Communiqué de presse du vendredi 29 septembre 2017.
[5] EFSA Journal
Conclusion on the peer review of the pesticide risk assessment of the active substance glyphosate. Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA). EFSA Journal, 12 novembre 2015.
[6] FAO
FAO specifications and evaluations for agricultural pesticides - Glyphosate. Consulté le 20 février 2019.
[7] ANSES
Avis de l’Anses sur le caractère cancérogène pour l’homme du glyphosate. 12 février 2016.
[8] OMS
Sécurité sanitaire des aliments - questions fréquentes sur les aliments génétiquement modifiés. OMS. Mai 2014.
[9] GIEC
Climate Change 2013: The Physical Science Basis. Contribution du 1er groupe de travail au 5e rapport du GIEC, 2013.
[10] GIEC
Réchauffement climatique de 1,5°C - Rapport spécial du GIEC. Chapitre 2 : voies d’atténuation compatibles avec 1,5°C dans le contexte du développement durable. GIEC. Consulté le 20 février 2019.
Droit d’auteur : ce texte est disponible sous licence Creative Commons attribution CC BY-ND 4.0 ; plus de détails ici

De nombreuses critiques ont été faites sur cette tribune, vous trouverez de nombreuses réponses à ces critiques dans l'interview d'un des membres créateur de la tribune:


Vous pouvez également retrouver certaines de ces critiques sur un papier de "Les Décodeurs (Le Monde)", et les réponses sur les liens qui suivent:
Les critiques des Décodeurs: Le Monde
Les réponses de No Fake Science: version Twitter, version unroll


Voici également une vidéo et une page de blog qui expliquent plus précisément le problème avec le traitement médiatique des informations scientifiques.
le lien de blog
la vidéo:


Les critiques et leurs réponses sont dans les liens ci-dessus, mais je vais développer le point qui m'a le plus dérangé (ainsi que la raison pour laquelle les rédacteurs de la tribune ne pouvaient pas éviter cette critique)
A titre personnel, je trouve surtout dommage que les sujets donnés en exemple ne sont pas assez mis en perspective et que les tournures de phrases sont alambiquées (ce qui peut passer pour de la manipulation). La raison est que la tribune avait un nombre de signes limités pour être publiée dans les médias, et qu'il fallait un panel d’exemples assez large qui va du consensuel au polémique (pour justifier la critique des médias et faire un peu de bruit, mais aussi conforter le lecteur sur d'autres points)... Donc parler de points spécifiques qui sont moins (mal) traités dans les médias généralistes.
Cette absence de mise en perspective ouvre la tribune aux critiques: "vous présentez les sujets comme des consensus alors qu'ils font encore débat".  Et effectivement il y a encore des débats sur ces sujets, mais pas sur le contenu des phrases...
- "La balance bénéfice/risque des principaux vaccins est sans appel en faveur de la vaccination": ce qui ne veut pas dire que les vaccins sont inoffensifs, seulement qu'ils sont globalement beaucoup plus positifs que négatifs.
- "Il n’existe aucune preuve de l’efficacité propre des produits homéopathiques", ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas un effet placebo.
- "Aux expositions professionnelles et alimentaires courantes, les différentes instances chargées d’évaluer le risque lié à l’usage de glyphosate considèrent improbable qu’il présente un risque cancérigène pour l’humain" ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a aucun effet sur certaines faunes.
- "Le fait qu’un organisme soit génétiquement modifié (OGM) ne présente pas en soi de risque pour la santé" ce qui ne veut pas dire que certains OGM peuvent présenter des risques.
- "Le changement climatique est réel et d’origine principalement humaine" ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas une part d'origine autre qu'humaine.
- "L’énergie nucléaire est une technologie à faible émission de CO2 et peut contribuer à la lutte contre le changement climatique" ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas de problème de sécurité ou de déchets.

Je pense que ça aurait moins porté à confusion de préciser les limites des affirmations (mais encore une fois, ils étaient limités par le nombre de signes et la tribune a au moins l'avantage d'ouvrir le débat). De plus, il ne faut pas oublier que le cœur de la tribune n'est pas de défendre un de ces six sujets, mais de remettre en cause la qualité de la science présentée dans les médias généralistes.

[edit]:
Il y a également un podcast de "La Méthode Scientifique France Culture" qui à fait une émission intéressante sur le sujet.
lien vers la page d'origine: ici

De quoi souffre la science dans les médias ? Le journalisme doit-il être remis en cause en ce qui concerne l’actualité scientifique ? Manque de visibilité ? Trop de sensationnalisme ? Manque d’éclairage sur la démarche de la recherche et le travail des chercheurs ?



Le sexe du cerveau, avec Franck Ramus

"Podcast Science" fait une interview de Franck Ramus sur les différences de cerveau selon les sexes.

Les hommes ne peuvent pas faire plusieurs choses à la fois, les femmes ne savent pas lire une carte, il y aurait un sens féminin mais celles-ci seraient nulles en math.Tout autant d’affirmations qui commencent parfois par un “une étude montre que”. Qu’en est-il vraiment? Y a t il des différences cognitives entre l’homme et la femme?
Pour répondre a ces questions nous recevons ce soir Franck Ramus, qui s’intéresse en tant que chercheur à ces questions. Nous sommes le 3 février 2015 et vous êtes dans l’émission 204, bienvenue!


https://soundcloud.com/podcastscience/204-franck-ramus:

Le monde est complexe

Lê de "Science4All" présente la complexité du monde, et s’émerveille de ce qu'il nous offre. Le tout en poésie.


Quelques biais expérimentaux

"Spline LND" nous présente différents biais expérimentaux qui peuvent rendre les résultats d'une étude scientifique incorrecte, ou difficile à interpréter correctement.


samedi 17 août 2019

Critiquer avec efficacité

Lê de la chaine "Science4All" a commencé une série sur comment mieux débattre, et je trouve plusieurs de ses idées intéressantes, voici donc la vidéo sur avec quelques conseille sur comment critiquer avec efficacité, couplé avec une vidéo (similaire en anglais) de "Julia Galef" sur le même sujet.




vendredi 16 août 2019

jeudi 15 août 2019

Comment fact-checker une étude scientifique ?

David de "Science Étonnante" nous explique comment lire et décrypter les études scientifiques présentées dans les médias.


Faites attention aux conférences TEDx

Voici quelques conférences TEDx expliquant pourquoi il faut se méfier des TEDx.

Une en VF par Thomas Durand de "La Tronche en Biais" qui en profite pour présenter quelques biais:


Une en anglais, qui présente comment paraître intelligent sans rien dire:


Présentation des deepfakes et des réseaux de neurones

"Officiel DEFAKATOR" fait une présentation de certains fakes possibles (des plus simples aux plus travaillés), et de comment les détecter. En bonus, il y a une vulgarisation des fonctionnements des réseaux de neurones et des GAN.


La terre plate? La terre ronde?

"Officiel DEFAKATOR" oppose les arguments principaux de ce qui prétendent que la terre est plate, et les arguments de ceux qui pensent qu'elle est ronde, et étudie quelle théorie est la plus cohérente.





[EN] Relation entre les différences de genre selon le developpement économique et l'égalité des sexes.

Papier qui étudie si les différences de genres dans les préférences (risques, patience, altruisme, et réciprocité négative et positive) augmentent ou diminuent lorsque les personnes vivent dans un pays plus égalitariste. Dit autrement: Le fait de vivre dans un pays économiquement plus développé avec une égalité des sexes entraine-t-il une augmentation ou une diminution des écarts femmes-hommes des préférences.




site d'origine: ici

[EN] Différences de salaire femme/homme aux US: une influence des heures travaillées

Post de blog qui compare les salaires femme/homme aux Etat-Unis selon des critères de temps de travail et de statut familial afin d'identifier ce qui peut causer la différence de salaire selon le genre

Le site web d'origine est ici: https://visme.co/blog/wage-gap/
Ci-dessous une copie (avec une mise en page moins bonne) dans le cas où le site d'origine disparaîtrait

[Edit]: il semblerait que des résultats similaires existent en France selon cette page Wikipédia: ici

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 Sur le même sujet, une vidéo d'"Heu?reka" en VF

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(copie du blog / premier lien)

Is the Difference in Work Hours the Real Reason for the Gender Wage Gap? [Interactive Infographic]

Federico Anzil
Written by:
Federico Anzil

Every year, the Department of Labor issues a report on the pay gap between women and men.
Women earn a median of $30,0001 per year, while men earn $40,000 per year. In other words, working women earn 75% of what men earn.
But this gap doesn’t take into account the fact that on average, men work more hours than women. According to U.S. census data, men spend an average of 41.0 hours per week at their jobs, while women work an average of 36.3 hours per week.
Many argue that gender discrimination explains a large part of the difference in earnings. Others argue that parenthood and gender roles usually affect women's earnings more than men.
To better understand the pay gap, we classified the respondents according to their marital and parenthood status2. The gap is dramatically higher between married couples versus singles without children. For married parents, the gap is even greater.
Nominal-Wage-by-Sex-and-Group-Weighted-Medians gender wage gap
Created with Visme
Hourly-Wage-by-Sex-and-Group-Weighted-Medians gender wage gap
But we also found that married fathers work even more than other men, while married mothers work less than married women without kids.
We analyzed the pay gap across hundreds of U.S. occupations. According to our research, in most occupations, the main source of the pay gap lies in the difference between the number of hours spent at work by women and men, and marital status and parenthood explain almost all this difference in working times.
The different behavior of women and men3 has an impact on the gender wage gap. As we will see below, the decision of who does most of the work outside versus who stays at home influences the pay gap in two ways: it modifies the nominal income, but it also influences how much women and men earn per each hour worked4.

A few specific examples

Let's take a look at the most common occupation in the US: Managers. This occupation is representative of the overall trend we see in the United States.
Median-nomimal Salary Managers gender wage gap
Single male managers without kids earn a median of $60,000 per year, while single female managers without kids earn $58,000 per year. On average, single male managers work 43.7 hours per week, while single female managers work 42.3 hours per week.
This means that men earn 3.4% more but work 3.5% more hours per week.
But when we look at the pay gap between married couples, we see a different picture. Both female and male married managers do have a higher salary. But men earn much more than women.
Working-Hours-of-Managers gender wage gap
Male married managers without kids earn a median of $90,000, while female married managers without kids earn a median of $62,000. A pay gap of 31%. In other words, women earn $0.69 for each dollar earned by their male counterparts.
A large part of this gap is explained by the number of hours spent at work. Men tend to work more after they marry. The average weekly working hours of males increase 4.3%, while women keep working the same quantity of hours per week. This explains a part of the gap increase.
But the time spent at work does not explain all of the gender pay gap. Married men managers without kids also earn more for each hour at work: they earn $38.40 per hour while married women without kids earn only $28.70. That means that for each hour spent at their jobs, male married managers without kids earn about 34% more than women. As we will see in detail below, the different hourly rate is related to job market trends.
We can see the same pattern across occupations like school teachers, secretaries, nurses, customer service representatives, and a lot of other professions: a small pay gap for singles without kids and a larger pay gap for married people.

Exceptions to the overall trend

We have seen that, for the most common occupations, there is almost no absolute pay gap for singles without kids, and this gap could be explained by the difference in time spent at work. But there are some occupations that do show a gap for this group of people.
Notable examples are drivers, retail salespersons, supervisors and janitors. Interestingly, we can see the same general pattern in these occupations: the uncontrolled gap increases dramatically for married couples, even if they do not have kids.
Retail-Salespersons-(Hourly-Wage) gender wage gap
Created with Visme
Driver-Sales-Workers-and-Truck-Drivers-(Hourly-Wage)
The same general pattern repeats itself in occupations where single women without kids earn more than their male counterparts. Some of them are secretaries, customer service representatives, cooks, stock clerks, office clerks and receptionists.
secertaries-and-administrative-assistants,-hourly-wage gender wage gap Office-Clerks-Hourly-Wage gender wage gap
In all of these occupations, the pay gap in favor of women reverts if they marry: married men still earn more than married women.

More time at work also means higher wages

Now, let’s look closely at the different hourly wages paid to women and men. The data shows that there is a persistent difference in the hourly rate earned by women and men, specially for married women and men. But the data also shows that men work more than women.
After taking a closer look at the data, we found a relationship between the hourly wage and the time spent at work. The average hourly pay increases as the number of hours worked per week increases. This is true for both sexes.
In the following chart, we plotted the hourly pay for women and men. To isolate the effect of marriage and parenthood, we took into account only singles without kids.
Hourly-wage-per-total hours-worked-per-week-women-men gender wage gap
In the next chart, we can see the average number of hours worked for each group:
Hours-per-Week-by-Sex-and-Group-Weighted-Mean gender pay gap visme
For the relevant range of hours worked per week, the average hourly pay increases as the time spent at work increases.
Because men tend to work more hours than women, especially if they are married, and even more if they are married parents, this could explain a large portion of the pay gap.
Also, the previous chart shows that on average, single women without kids are getting paid more than men for every hour spent at work. This could mean that if women worked the same amount of hours as men do, and other conditions remained the same, there would be no pay gap for this group5.

What about age and experience?

It is important to note that age and job experience are also relevant factors in the gender gap debate. To isolate the possible effects that age and job experience may have in the pay gap for each of the different groups, we plotted the weighted average of working hours per age for single women and men without kids.
Weighted-average-of-working-hours-per-week-SINGLE-MEN-AND-WOMEN-WITHOUT-KIDS2 gender wage gap
Created with Visme
For singles without kids, there is a very small gap at every age. But for married couples, there is a significant gap in working hours at every age.
Weighted-average-of-working-hours-per-week-MARRIED-MEN-AND-WOMEN-WITHOUT-KIDS2 gender wage gap Weighted-average-of-working-hours-per-week-MARRIED-PARENTS2 gender wage gap
If we take into account how the hourly wage varies as men and women get older, the hourly wage of men increases more than the hourly wage of women. The same pattern can be seen in all three groups.
Weighted-wage-per-age-SINGLE-MEN-AND-WOMEN-WITHOUT-KIDS gender wage gap visme Weighted-wage-per-age-MARRIED-MEN-AND-WOMEN-WITHOUT-KIDS gender wage gap Weighted-average-of-working-hours-per-week-MARRIED-PARENTSWeighted-average-of-working-hours-per-week-MARRIED-PARENTS gender wage gap
The charts above demonstrate that job experience is correlated with the time spent at work through the years. As years pass, men accumulate more practice and training than women. The job market pays more if the worker has more experience. In other words, the gap widens as men acquire more experience than women6.

So what's the real cause of the gender wage gap?

In this article, we found that one of the main sources of the gender pay gap is the fact that, on average, women and men devote a different number of hours to their jobs, specially after marriage and parenthood.
The literature on gender pay gap is very extensive. Different papers focus on diverse causes to explain it. Two of the most mentioned reasons are gender discrimination and motherhood and gender roles.
Gender discrimination against women occurs if a woman is paid less than a man for doing the same job.
If we consider that the quantity of hours devoted to a job determines whether we consider a job to be the same as another, the data doesn’t support the idea of gender discrimination at the aggregate level.
The hourly pay rate for married women is lower than for married men on average, but a probable explanation is because the job market pays less per hour if the number of hours worked decreases, and married women tend to work less. The same pattern can be seen in almost every occupation.
Also, men tend to devote more time to work, thus acquire more experience as years pass by, and the job market pays more if the worker has more experience.
This doesn’t mean that gender discrimination doesn’t exist. Our analysis just shows that, at the aggregate level, most of the gap is not explained by gender discrimination.
Regarding the second aspect of the pay gap, societal ideas of gender roles influence the behavior of women and men. Also, biological factors related to parenthood do play a role in the creation of differences in preferences. Namely, women get pregnant and women breastfeed. These differences between sexes could be a plausible explanation of why women tend to spend more time at home versus their couples, especially after marriage and parenthood7.
To conclude and to recap, we can say that, according to our analysis, job market forces and gender preferences in relation to marital status and parenthood could explain almost all of the pay gap. Most of the gap is not the result of gender discrimination.

Methodology

Data Source

We used IPUMS USA to extract the data of the American Community Survey 2017.
Some characteristics of this sample are:
- 1-in-100 national random sample of the population.
- The data include persons in group quarters.
- This is a weighted sample.
- The smallest identifiable geographic unit is the PUMA, containing at least 100,000 persons. PUMAs do not cross state boundaries.
The ACS is the largest household survey that the Census Bureau administers.
The number of cases in this data set is 3,190,040.
We selected the following variables:
- NCHILD Number of own children in the household
- YNGCH Age of youngest own child in household
- SEX Sex
- AGE Age
- MARST Marital status
- OCC Occupation
- UHRSWORK Usual hours worked per week
- INCWAGE Wage and salary income
- PERWT Person weight

Description of the Variables

PERWT
PERWT indicates how many persons in the U.S. population are represented by a given person in an IPUMS sample.
PERWT should be used when conducting a person-level analysis of any IPUMS sample.
NCHILD
NCHILD counts the number of own children (of any age or marital status) residing with each individual. NCHILD includes step-children and adopted children as well as biological children. Persons with no children present are coded "0."
YNGCH
YNGCH reports the age of the youngest own child (if any) residing with each individual, regardless of the child's age or marital status. The highest legitimate age for YNGCH is 98. YNGCH includes step-children and adopted children as well as biological children. Persons with no own children present are coded 99.
SEX
SEX reports whether the person was male or female.
AGE
AGE reports the person's age in years as of the last birthday.
MARST
MARST gives each person's current marital status.
OCC
OCC reports the person's primary occupation, coded into a contemporary census classification scheme. Generally, the primary occupation is the one from which the person earns the most money; if respondents were not sure about this, they were to report the one at which they spent the most time. Unemployed persons were to give their most recent occupation. For persons listing more than one occupation, the samples use the first one listed.
Codenames can be obtained from this url:
https://usa.ipums.org/usa/volii/occ_acs.shtml
UHRSWORK
UHRSWORK reports the number of hours per week that the respondent usually worked, if the person worked during the previous year. The census inquiry relates to the previous calendar year, while the ACS and the PRCS uses the previous 12 months as the reference period.
UHRSWORK is a 2-digit numeric variable that reports the number of hours per week that the respondent usually worked, if the person worked during the previous year. The census inquiry relates to the previous calendar year, while the ACS and the PRCS uses the previous 12 months as the reference period. UHRSWORK specific variable codes for missing, edited, or unidentified observations, observations not applicable (N/A), observations not in universe (NIU), top and bottom value coding, etc. are provided below if applicable by Census year (and data sample if specified).
UHRSWORK Specific Variable Codes
00 = N/A
99 = 99 hours (Top Code)
INCWAGE
INCWAGE reports each respondent's total pre-tax wage and salary income - that is, money received as an employee - for the previous year. The censuses collected information on income received from these sources during the previous calendar year; for the ACS and the PRCS, the reference period was the past 12 months. Sources of income in INCWAGE include wages, salaries, commissions, cash bonuses, tips, and other money income received from an employer. Payments-in-kind or reimbursements for business expenses are not included. See the comparability discussion below for further information.
Amounts are expressed in contemporary dollars, and users studying change over time must adjust for inflation (See INCTOT for Consumer Price Index adjustment factors). The exception is the ACS/PRCS multi-year files, where all dollar amounts have been standardized to dollars as valued in the final year of data included in the file (e.g., 2007 dollars for the 2005-2007 3-year file). Additionally, more detail may be available than exists in the original ACS samples.
User Note: ACS respondents are surveyed throughout the year, and amounts do not reflect calendar year dollars. While the Census Bureau provides an adjustment factor (available in ADJUST), this is an imperfect solution. See the ACS income variables note for further details.
INCWAGE is a 7-digit numeric code reporting each respondent's total pre-tax wage and salary income - that is, money received as an employee - for the previous year. INCWAGE specific variable codes for missing, edited, or unidentified observations, observations not applicable (N/A), observations not in universe (NIU), top and bottom value coding, etc. are provided below by Census year (and data sample if specified).
User Note: Amounts are expressed in contemporary dollars, and users studying change over time must adjust for inflation.
INCWAGE Specific Variable Codes
999999 = N/A
999998 = Missing

Data Preparation

We used Python to import and filter the data. Python is a general-purpose programming language. The libraries Pandas and Numpy libraries were used to import and filter the data.
We removed observations less than 16 years old, unemployed who never worked, not in labor force who last worked more than 5 years ago.
We removed observations that reported N/A or missing wage or salary income.
We removed observations with a code of 0 hours worked
To isolate any possible effect caused by marked differences between women and men when they reach older ages, we took into account only people younger than 70 years old.
To calculate the hourly wage, we used the value 52.143 to calculate how many weeks are in a year. We calculated the number of hours worked per year for each observation, multiplying UHRSWORK ( the number of hours per week that the respondent usually worked, if the person worked during the previous year) by this value.
To arrive at the hourly wage, we divided the wage and salary income for the previous year (INCWAGE) by the number of hours worked per year.
To consider if a person is a parent, we took into account if there is an own child residing with each individual and the age of the youngest child. For this study, we chose the age of 18 as the limit to consider if a person is a parent.
We classified observation according to their marital and parenthood status (according to our definition of parent).
  • If an observation is single and no parent, we assigned it to the group “singles no children”
  • If an observation is married and no parent, we assigned it to the group “married no children”
  • If an observation is married and parent, we assigned it to the group “married with children”
After all this cases had been removed, our sample consisted in 1,509,403 observations.

Descriptive Statistics

To calculate the statistics, we used R and Python. R is a programming language for statistical computing. We used the R library dplyr to create subsets of the sample.
We calculated the weighted statistics for:
  • wage and salary income
  • hours worked
  • hourly wage
For the wage and salary income, we chose the median as the descriptive statistic. Because the mean can be influenced by extreme scores. That means that a small number of high wages could significantly affect the mean, but not the median.
The hourly wage also represent the median.
In the case of the hours worked we chose the mean because there is a natural limit on the worked hours per week, so extreme values cannot be present (the top code for UHRSWORK is 99).
For the occupations, we also merged the dataset with the occupations names. Occupation names can be found at:
https://usa.ipums.org/usa/volii/occ_acs.shtml

Notes


  1. Median pre-tax wage and salary income. Only working people younger than 70. Not filtering out any outlier, for the rest of the article we filtered out cases that we consider abnormal and not representative. See the methodology section for more information.

  2. To isolate the effect of parenthood and marital status, we took into account only three groups: Not married without children, married without children and married with children. Further research could also take into account more categories, like single parents.

  3. Different choices can be agreed upon and voluntary decisions of both members of the couple, although influenced by sociological aspects and gender roles.

  4. To calculate the hourly pay, we used the average number of hours per week that the respondent usually worked.

  5. Or a small gap in favor of women.

  6. Also, not plotted here, the difference in worked hours slightly increases as men and women get older.

  7. These can be agreed and voluntary decisions of both member of the couple, although, influenced by sociological aspects and gender roles.

  8. Steven Ruggles, Sarah Flood, Ronald Goeken, Josiah Grover, Erin Meyer, Jose Pacas, and Matthew Sobek. IPUMS USA: Version 8.0 [dataset]. Minneapolis, MN: IPUMS, 2018. https://doi.org/10.18128/D010.V8.0