David Louapre de "Science Étonnante" et sa série de vidéos sur l'astrobiologie.
Comment définir ce qu'on appelle "La Vie" ? Une question essentielle si on prétend en trouver ailleurs que sur Terre !
Détails et compléments dans le billet de blog qui accompagne la vidéo : https://scienceetonnante.com/2020/09/04/qu-est-ce-que-la-vie/
Comment définir la vie au sens large, en faisant abstraction de la vie terrestre telle qu'on la connait ? Par la thermodynamique ! On se penche sur le concept de LYFE
Détails, sources et compléments dans le billet de blog qui accompagne la vidéo : https://scienceetonnante.com/2020/09/18/lyfe-la-thermodynamique-de-la-vie/
Le paradoxe de Fermi
Sommes-nous seuls dans l'Univers ? Quand on fait le calcul, ça parait improbable...et pourtant. Voyons ensemble ce qui peut expliquer le fait qu'on n'ait encore jamais vu d'extra-terrestres !
Détails et compléments dans le billet de blog qui accompagne la vidéo : https://scienceetonnante.com/2020/11/...
"Podcast Science" fait une interview de Gilles Dowek et Serge Abiteboul sur l'informatique et éthique.
Informatique, travail, intelligence artificielle, ce soir on reçoit deux invités de marque pour aborder tous ces sujets et essayer d’imaginer ce que peut être notre avenir ! L'interview de la semaine avec Serge Abiteboul et Gilles Dowek sur Informatique et étique
Le 6 août 1945, à 8h16, une bombe nucléaire s'abattait sur la petite ville portuaire japonaise d'Hiroshima, dévoilant à la face du monde la puissance de la bombe atomique....
Comment fonctionne une Bombe A, ou une Bombe H ? Quelle est la plus grande puissance jamais atteinte ? Ces armes spectaculaires nous fascinent et nous terrifient.
2 débats /conférences sur les énergies renouvelable (1 sur le solaire, 1 sur l'éolien).
Peut-on avoir une discussion sérieuse sur les choix énergétiques urgents ?
Avec Sylvain David (nucléaire, CNRS), Daniel Lincot (photovoltaïque, CNRS), Denis Guthleben (historien, CNRS).
La problématique de l’énergie semble inextricable en ce sens qu’elle fait appel à notre cœur et à notre raison. Une partie de nous apprécie de pouvoir voyager à l’autre bout du monde pour le prix d’un ticket de métro, d’avoir chaud en hiver et froid en été, ou encore d’avoir le loisir de transformer sa maison en une version miniaturisée de Las Vegas à l’approche des fêtes de Noël. Dans le même temps, une autre partie de nous est là pour nous rappeler que c’est déraisonnable, et que nos enfants paieront un jour pour nos caprices.
Ces deux conceptions du monde sont-elles réellement irréconciliables ? Les adeptes de la décroissance prônant une réduction drastique de notre consommation énergétique sont-ils des prêcheurs d’apocalypse ou au contraire des visionnaires qu’il convient de suivre au pied de la lettre? Et les énergies renouvelables dans tout ça? Constituent-elles réellement une réponse satisfaisante aux défis qui nous attendent, ou posent-elles plus de problèmes qu’elles n’apportent de solutions ? Nous tenterons de répondre à ces questions, grâce aux éclairages d’un chercheur spécialisé en énergie solaire, un spécialiste de l’énergie nucléaire, et un historien des sciences.
Nos sociétés ne fonctionneront pas demain sans énergie. Mais les enjeux écologiques (et géopolitiques) réclament que nous limitions notre impact environnemental, et notamment en "décarbonant" nos productions. En France, l'électricité est déjà l'une des moins carbonées du monde, c'est pourquoi le recours aux énergies renouvelables suscite chez nous des débats particuliers.
L'éolien en mer est une technologie en constant progrès, mais qui a aussi 30 ans de retour d'expérience. Que pouvons-nous attendre des projets de parcs Offshore en développement, avec quel impact concret, et à quel coût ?
Pour en débattre, à l'initiative de la Commission Nationale du Débat Public (CNDP), la parole est donnée à Paul NEAU (expert des EnR) et Philippe QUIRION (économistes) tous deux membres de Negawatt, ainsi qu'à Jacques TREINER (Physicien) du Shift Project.
"Officiel DEFAKATOR"
fait un tour de différentes techniques de manipulation sur internet via des faux utilisateurs
Les réseaux sociaux grouillent de zombies et d'autres sortes de gens qui n'existent pas mais qui vous trollent, droits dans leurs bots.
Une plongée pratique dans les mécanismes de l'astro turfing.
0:00 • Vite fait 6:27 • Astro Turfing 9:17 • Les mécanismes 14:50 • Les bots 21:47 • Le test de Turing 27:05 • Les zombies et les bot nets
35:46 • Les trolls
39:25 • Les IA
Nous avons été prof de français. Sommés de nous offusquer des fautes d'orthographe, nous avons été pris pour les curés de la langue. Nous avons écrit pour dédramatiser, pour réfléchir ensemble et puis aussi parce qu'on a toujours pensé que l'Académie Française avait un vrai potentiel comique.
"Les deux belges qui veulent simplifier la langue française" : tout est faux dans cette phrase. Pas "simplifier" mais bien faire preuve d'esprit critique, se demander si tout se vaut dans notre orthographe. Pas deux belges, mais bien deux curieux qui veulent transmettre le travail des linguistes de toute la francophonie, pas même la "langue française", seulement son orthographe. Car l'orthographe, c'est pas la langue, c'est juste le code graphique qui permet de la retranscrire. Passion pour les uns, chemin de croix pour les autres, elle est sacrée pour tous. Et pourtant, il ne s'agit peut-être que d'un énorme malentendu. Arnaud Hoedt et Jérôme Piron sont linguistes de formation. Ils ont vécu 25 ans sans se connaître, mais c’était moins bien. Ils ont ensuite enseigné pendant 15 ans dans la même école. Quand Arnaud participe à la rédaction des programmes de français en Belgique, Jérôme se spécialise en médiation culturelle. En 2016, ils écrivent et mettent en scène le spectacle « La Convivialité », au Théâtre National de Bruxelles. Ce spectacle conférence qui traite de la question du rapport dogmatique à l’orthographe tourne depuis 3 ans dans toute la francophonie. Dans la foulée, ils publient l’ouvrage « La faute de l’orthographe », aux éditions Textuel. Ils se définissent comme suit : « Linguistes dilet(t)antes. Pédagogues en (robe de) chambre. Tentent de corriger le participe passé. Écrivent des trucs. Vrais-Faux Comédiens. Bouffeurs d’Académicien ».
A la question « est-ce que ça se dit ? « , Arnaud et Jérôme répondent invariablement « oui, tu viens de le faire ». This talk was given at a TEDx event using the TED conference format but independently organized by a local community. Learn more at https://www.ted.com/tedx
Mehdi Moussaid de "Fouloscopie"
fait une vidéo sur les mouvements de foules et la contamination de la peur.
*** QUELQUES PRÉCISIONS DE L'AUTEUR DE LA VIDEO*** - Il est important de noter que le terme de “panique” n’est utilisé en science qu’à de rares occasions. En effet, dans la plupart des mouvements de foule les individus ne présentent pas de symptômes de panique au sens clinique du terme. Pendant une bousculade, comme à La Mecque ou lors de l’accident de la Love Parade en Allemagne, les gens ne sont généralement pas “paniqués”. De même, l’expression “achat panique”, est un abus de langage : Il n’y a en réalité qu’une toute petite minorité d’individus qui présentent effectivement des symptômes de “panique” les autres ne font que s’adapter à la situation.
Dans mon domaine, l’expression de “panique collective” ne s’applique qu'au phénomène illustré en début de vidéo (sur la place de la République, à Turin, Toronto ou à Nice). Dans ce cas, la fuite des individus s’apparente effectivement à une forme de peur incontrôlée. Mais d’une manière générale, “la panique” est un mot qu’il faut utiliser avec précaution.
- Ne confondez pas le “taux de transmission” et le R0 que l’on voit souvent en ce moment dans les médias. Le taux de transmission, comme je le dis dans la vidéo, désigne la probabilité qu’un comportement (ou un virus) se propage d’une personne à une autre lors d’un contact. Le R0 est un indicateur un peu différent qui mesure le nombre de personnes qui vont être infectées par un malade: R0 = taux de transmission x la fréquence de contacts x la durée de la phase contagieuse. Merci à Thibault Fiolet pour ses éclaircissements là-dessus. N’hésitez pas d’ailleurs à aller voir sa vidéo sur la modélisation en épidémiologie : https://youtu.be/NanMoM8l6Co
- J’aime bien m’amuser à développer des modèles mais n’oubliez pas une chose essentielle : un modèle, ce n’est pas *exactement* la réalité ! D’une part, il y a énormément de simplification. L’idée est d’essayer d’isoler un mécanisme mais il y a beaucoup de facteurs susceptibles de modifier le résultat. D’autre part, le modèle nécessite des paramètres (comme le taux de transmission) et on peut modifier le resultat final en changeant ces paramètres. Le modèle ne donne donc qu’une vision de ce qui est possible, en théorie. Il doit être validé par des données expérimentales pour pouvoir en tirer des conclusions solides.
"Spline LND" présente pourquoi il y a de la sexualité dans la bub.
"Que ce soit pour vendre du café, du parfum ou des burgers, la pub ne loupe pas une opportunité de nous montrer des corps nus ou sexualisés.
L'occasion de faire un petit tout d'horizon de la sexualité dans la publicité."